Pour sa SCPI Actipierre 1 Ciloger a signé l'acquisition (4m€) d'une boutique en pied d'immeuble, avenue Victor Hugo, « artère commerçante majeure du 16ème arrondissement parisien ». Aujourd'hui, la SCPI présente un surinvestissement de l'ordre de 5 m€, le maximum autorisé par la dernière assemblée générale.
Cette acquisition est aussi l'occasion de faire le point sur les 3 sœurs Actipierre 1, 2 et 3. L'année dernière encore, les 3 SCPI dédiées à l'immobilier commercial ont démontré leur belle capacité de résistance. Malgré un environnement incertain, elles présentent des « performances remarquables » en termes de valorisation du patrimoine, d’occupation et de distribution de revenus. D'abord, les expertises immobilières réalisées fin 2013 constatent des augmentations à périmètres constants qui tournent respectivement autour de 1,1%, 0,9% et 0,7%. Elles sont « révélatrices de la qualité des emplacements et des locataires » explique Ciloger.
Le taux d'occupation financier demeure à un niveau élevé. Compris entre 97,92% et 99,59% ils sont supérieurs ou très proches de ceux constatés à la fin de l’année 2012. En terme de revenus distribués, ils ont augmentés d’1,4% pour Actipierre 3 tandis qu’ils se sont stabilisés pour Actipierre 1 et Actipierre 2. Mais pour chacune d'entre elles les réserves ont été renforcées. Elles représentent entre 3 et 5 mois de distribution, ce qui doit leur permettre de pallier à des tensions locatives ponctuelles. Signe de la confiance des épargnants, les parts en attente de vente sur le marché secondaire demeurent toujours à des niveaux très faibles (entre 0,01% et 0,07% des parts en circulation). Enfin, si le prix d’exécution moyen d’Actipierre 1 progresse de 2% par rapport à 2012, ceux d’Actipierre 2 et Actipierre 3 reculent de 9% et 3%.... Ils sont toutefois « légèrement supérieurs aux dernières valeurs de réalisation publiées fin 2012 » précise Ciloger.
Cette année, les projections énoncées par Ciloger confirment un maintien des niveaux de distributions trimestrielles soit sur les bases des prix moyens d’achat 2013 et des revenus distribués en 2013, des taux de distribution autour de 5,07%, 5,60% et 5,39%.
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