Les pays du sud de l’Europe ont été très durement touchés par la crise financière de 2008. Les conséquences ont été une envolée du chômage et la mise en œuvre de politiques d’austérité sévères pour que ces pays puissent retrouver des trajectoires de déficit public et d’endettement soutenables à terme. Mais les réformes structurelles menées dans ces zones pendant les périodes de « vaches maigres » entre 2011 et 2014 ont en général commencé à porter leurs fruits : le taux de chômage a commencé à refluer nettement en Espagne (de 26% à 14,7% entre 2013 et 2018), et surtout au Portugal (de 16% à 6,6% sur la même période). Il y a donc aujourd’hui un dynamisme retrouvé sur un certain nombre de grandes métropoles comme Madrid, Barcelone ou Lisbonne.
Les marchés immobiliers tertiaires, traditionnellement corrélés avec l’activité économique, y ont retrouvé des couleurs et attirent de plus en plus de capitaux. Il y a donc une réelle opportunité aujourd’hui pour les sociétés de gestion possédant les compétences adéquates à s’intéresser à ces marchés européens considérés à tort comme périphériques.
Mais les critères traditionnels d’investissement en immobilier s’appliquent plus que jamais lorsque l’on s’éloigne des marchés « core » : Advenis REIM l’a bien compris puisque la SCPI Elialys sélectionnera les capitales européennes bénéficiant d’une forte croissance démographique, d’une certaine profondeur de marché, et surtout ciblera des actifs avec des locataires de premier rang et des baux fermes de longue durée, sécurisant ainsi les revenus de la SCPI Elialys sur longue période.
« La profondeur du marché immobilier tertiaire en Europe du Sud avoisine les 50 milliards € de transactions, signe d'un secteur immobilier dynamique et source d'opportunités d'investissements importantes pour la société de gestion », précise Advenis REIM.