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La conjoncture immobilière par CBRE – 3T 2012

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Des volumes toujours tirés par les grandes transactions

 

Sur les 9 premiers mois de l’année, 9,3 milliards d’euros ont été engagés en immobilier d’entreprise banalisé en France, ce qui représente une progression de + 12 % sur un an. Après un bon 2ème trimestre, porté par des transactions d’envergure, l’activité a quelque peu marqué le pas durant l’été, dans un contexte économique difficile. De fait, avec un peu plus de 3,3 milliards d’euros investis, le 3ème trimestre 2012 s’inscrit en léger recul (- 10 %) par rapport à la même période l’an passé.

Si les 3 derniers mois n’ont pas vu de mega-deals de taille comparable à ceux du printemps dernier, les grandes transactions ont une nouvelle fois soutenu les volumes. Ainsi, les 9 nouvelles signatures > 100 millions d’euros enregistrées ont représenté plus de 55 % des engagements du trimestre. Notons notamment les 3 transactions dépassant 250 millions d’euros :
• le portefeuille de 5 actifs parisiens cédé pour moitié par Generali à Norges pour 275 millions d’euros ;
• la vente par Immoselect auprès de la CNP et de Cardiff des 46 000 m² de l’immeuble Liberté 2 à Charenton pour 255 millions d’euros ;
• l’acquisition par ADIA du siège d’Amundi dans Paris 15 pour 252 millions d’euros.

A l’autre extrémité du marché, le segment des petites transactions est demeuré actif, pérennisant une certaine bipolarité. Les deals inférieurs à 25 millions d’euros ont été nombreux (250 opérations) et pèsent 20 % des volumes engagés depuis le début de l’année.

Ainsi, la taille moyenne des opérations reste mesurée, à 28,4 millions d’euros. 

 

Un marché dual

 

Si les résultats en termes de volumes engagés demeurent satisfaisants, par comparaison notamment avec la même période l’an passé, le marché de l’investissement français n’a pas retrouvé un fonctionnement pleinement efficient. Certes, les fonds qui cherchent à se placer dans l’immobilier en période de crise restent abondants et le marché français apparaît toujours attractif du fait de sa profondeur et de sa liquidité, notamment aux yeux des grands investisseurs internationaux.

Mais, alors que la fin 2011 laissait entrevoir la possibilité d’une lente reprise, le contexte économique n’a cessé de se dégrader depuis le début de l’année 2012, avec le ralentissement de l’économie mondiale et la résurgence de la crise des dettes souveraines en Europe. Ainsi, les faibles perspectives de croissance, la pression sur les valeurs locatives et la frilosité des banques entretiennent les acquéreurs dans leur extrême aversion au risque. Ces derniers restent focalisés sur les seuls actifs « prime », les plus sécurisés possibles.

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